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Salut, toi qui es né pour vivre ici.

Toi qui corresponds parfaitement au projet, que ce soit mentalement et physiquement, sache qu'il faudra survivre par tes propres moyens dans cette vaste et chaotique ville qu'est Eternally. Tu peux faire cavalier seul, ou du moins le tenter difficilement. Soit rejoindre un des quatre groupes qui règnent sur Eternally. Mais tu comprendras vite que la loi du plus fort prévaut sur tes droits les plus basiques...
Sache simplement que tu ne pourras pas t'échapper sinon par la mort... ou alors jusqu'à qu'un groupe prennent le contrôle total de la cité. D’ici là, il faudra devenir le plus fort.

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Sinh DeVilliers

Sinh DeVilliers

CV
Rang:
Surnom :
Palier: 10





Sinh DeVilliers
Mer 9 Jan - 23:28
  • Taille : 1m78
  • Poids : 58 kg
  • Cheveux : Noirs
  • Yeux : noirs
  • Corpulence : Ectomorphe, particulièrement fin

  • Particularités : /
Sinh, c'est le produit issu de la rencontre du Québec avec le Vietnam et le Japon.

De sa mère vietnamienne, il a hérité de ces longs cheveux noirs, épais et brillants, de son regard de chat et également de sa silhouette altière. Mais quand ce fut un trait d'élégance chez la femme, lui, avait plus des allures de corbeau de mauvaise augure.

Car s'il n'est pas bien grand, sa maigreur est-elle qu'il peut tromper sur les photographies -et c'est ainsi qu'il avait fait la connaissance d'Akane via une application de rencontres. Une japonaise férue de grands mecs.
Enfin, à défaut de mesurer le mètre quatre-vingt-dix, ce fut son charme qui l'eut retenue. Une paire d'iris étroits, d'un noir terriblement sombre couplé à un sourire loin d'être innocent suffisaient à attirer l'attention et mettre mal à l'aise les plus teigneux ; Akane, elle, ça l'avait follement inspirée.

Sinh est un homme qui ne se défend pas par sa virilité mais par une grâce qui saurait éveiller certains appétits : des membres délicats, une taille de femme, des gestes mesurés et une peau blanche qui ne garde jamais la moindre trace. Cette dernière est un défi ambulant car même les plus profondes cicatrices ne lui ont laissé qu'une vague zébrure sans boursouflures. Et cela suffit pour qu'il en tire une certaine fierté. Qui devinerait ses années de kinbaku ?

Car avec son allure fragile, il est commun de le sous-estimer et le corbeau s'en sert volontiers pour prendre ses ennemis à revers et les immobiliser de quelques nœuds savamment réalisés. Il a été le partenaire de son Maître mais également un disciple attentif... Même s’il est loin d'avoir atteint le niveau de l'homme.
  • Qualités : Semble avenant - Conversation facile - Ouvert d'esprit - Cultivé - Loyal - Récupère vite - Déterminé

  • Défauts : Très méfiant - Vindicatif - Réservé - Extravagant - Possessif - Rejet des conventions
« Sinh » : la vie, la naissance, la floraison.

Peut-être ce prénom avait-il été choisi pour porter le vœu d’un avenir radieux et d’une bonne santé. De ces deux espoirs, Sinh ne retint que le dernier car même s’il semble avoir le sourire facile, il s’agit le plus souvent d’un trait de sarcasme que de réelle appréciation.
En effet, l’homme a une réelle propension au doute et à la méfiance. Pour lui, aucune relation n’est bâtie sans intérêt pour la porter et la faire grandir : une personne cherchera l’amour pour combattre sa solitude, une autre se fera des amis pour se faire valoir ou pouvoir quérir de l’aide au besoin.

Dans ce jeu d’intérêts, il accordera ainsi plus de confiance à celui qui clamera haut et fort son intention qu’une soi-disante générosité, qui cache forcément un dessein plus sournois. C’est en tous cas ce que la vie lui a appris.

Malgré cette réserve, on ne peut pas dire qu’il soit particulièrement timide ou discret, ni même passif : Sinh est une comme chandelle qu’on brûlerait par les deux bouts. Avide de vivre, de sentir, d’expérimenter quitte à y impliquer son entourage… et sa santé. Mais il n’en a que faire. Il récupère vite après tout. Et ce n’est pas comme s’il pouvait quitter Eternally… non ?

Ainsi, il ne fuit pas les relations qu’elles soient amicales ou amoureuses : si ses amitiés sont peu nombreuses mais indéniablement fortes, pour le second point, il recherche simplement un met rare.
Une relation qui aille au-delà du plaisir charnel. Une relation de confiance totale où il pourra s’abandonner –pleinement. Et une fois ce point atteint, il sera alors capable de laisser ses doutes de côté pour suivre aveuglément les murmures et les soupirs.

On dit que le soumis n’est pas celui qui subit, mais celui qui accepte de subir. Dans son cas, cette mentalité se décline en une assurance et une détermination à toute épreuve : il sait ce qu’il veut et fera tout pour l’obtenir.
S’il doit précipiter les quelques gêneurs vers une mort certaine... Il le fera. Pourquoi ne pas subir les pires des souffrances si la récompense en vaut le coup ?
  • Pseudo : Dwight de RETOUR
  • Âge : 23 toujours

  • Comment tu as découvert le forum ? °-°

  • Des remarques ? L'taim é moch é doner moi 2 la salad
  • Nom : DeVilliers
  • Prénom : Sinh
  • Âge: 31 ans
  • Groupe : Yellow
  • Occupation : SDF

  • Avatar : Roji Uichi [Jealousy] (version jeune)
résumé:

La sensation de voler.
Perdre tout contact avec le sol et effacer ses repères. Oublier ses pieds, ses mains pour laisser sa conscience se perdre dans un flot de quiétude, immense…

Et j'entrouvre les lèvres dans un appel silencieux que son oreille vient frôler -à l'écoute de ma respiration- avant que la chaleur de ses doigts autour de mes hanches ne réveillent des émotions endormies. Il masse avec douceur ma peau refroidie par l'attente pour la transformer en impatience. Je penche la tête, dodelinant.
Je ne m'entends plus à vrai dire, tant mes sens sont plein de sa présence. Avec une lenteur toute mesurée, il fait glisser la corde de chanvre ; le long de mon bassin et de ma taille, pour remonter sur mon poitrail et chatouiller mes clavicules. La pièce est emplie de notre silence et du chuintement de la corde rugueuse.





C'était comme une drogue.

Il y avait la montée, l'inconfortable adaptation, l'explosion, la divagation pleine d'allégresse et enfin... la descente. Elle était douloureuse. Toujours. Je la vivais même comme une punition, la fin d'un bonheur que je savais pourtant passager. Comme si on me retirait le droit de m'abandonner à lui. Mais c'était l'occasion de prendre conscience pleinement de ma vulnérabilité, si forte qu'elle venait engourdir l'esprit plus que le corps -et quand il me lâchait, enfin, je n'avais qu'une envie.

La frontière entre amour et addiction était fragile, à peine perceptible.

Nous étions intimement liées par la corde, mais nous n'étions pas amants, ni même un couple et encore moins amis. Que sais-je de lui, sinon le sourire poli qu'il me montrait avant de commencer nos séances, sinon le visage froid qu'il me laissait entrevoir quand le mien était maintenu à terre ou penché dans les airs ? L'absence de mots pourtant me liait plus puissamment à lui qu'à ma propre femme.





Unique fils d'une réfugiée de guerre et d'un chrétien dévoué, j'avais grandi pour correspondre aux attentes de mes parents : "un corps pur, des paroles justes, un esprit sain." Évidemment, je n'ai pas manqué de les écarter, une à une, au fur que je gagnais des poils et de l'âge.
Ça avait commencé par des sorties de plus en tardives, des soirées arrosées chez les amis, puis les boîtes de nuit et les filles de la fac de lettres modernes. Études que j’eus vite délaissées après m’être trouvé une sugar momma, d’ailleurs, achevant mes parents au passage.

Je sacrifiai donc mon intégrité relationnelle pour une aisance de vie, pour deux années de débauche. Même aujourd’hui, je peine à me souvenir de tout ce qu’il s’est passé. Nous avions goûté à bien des plaisirs, refusé aucune folie, et voyagé surtout.





Un soir alors que nous résidions au Japon, j’étais de sortie comme d’habitude avec ma cohorte d’amis sugar babies. Mais nous avions décidé, sans doute un peu trop éméchés, de nous laisser tenter par un bar à thème.
Je me souviens d’une salle étroite, toute en longueur, sombre et où une musique grésillait dans les enceintes poussiéreuses. Et à peine éclairée par des lumières d’un rouge presque sanglant, une femme en tenue légère suspendue en l’air… Elle retenait les regards mais le mien s’était porté sur l’artiste.

J’avais trouvé le spectacle magnifique.

De cette rencontre reviennent des souvenirs plus clairs : un intérêt grandissant pour le shibari puis le kinbaku, la découverte en tant que pratiquant puis la naissance d’une relation bien étrange, de confiance et d’abandon…

Bien sûr, je ne pus longtemps conjuguer cette passion avec mon train de vie et dus rapidement en reprendre le cours en main. Ma licence obtenue quelques années plus tôt me dégagea une voie vers le journalisme et mon penchant particulier m’inspira ma spécialité : le journalisme en arts. Rien qui ne touchât au conventionnel, évidemment. L’année suivante, je me mariai avec Akane et naquit ma petite et ô combien adorable Arisu.





J’étais donc devenu un adulte : j’avais un travail, une maison, une famille aimante. Mais mon affection pour le kinbaku reprenait indéniablement le dessus jusqu’à ce que ma femme ne finisse par nommer ce que je n’osais pas. C’était un doute. Une pensée, floue, persistante.
Et peut-être avait-elle raison. Que mon hétérosexualité n’était que le fantôme d’une enfance reniée, détestée. Ou peut-être se trompait-elle en ne pouvant accepter une bisexualité, y préférant le rejet complet ?

Il semblerait que l’on trouve un certain réconfort sinon une complaisance à pouvoir se nommer jusqu’au petit détail qu’est nôtre sexualité. Personnellement… Je trouvais mon bonheur dans le kinbaku.
Pour Arisu, l’équation était encore plus simple : j’aimais sa mère, sa mère m’aimait et bien nous nous aimions peu importe qu’à côté, j’apprécie le pachinko ou encore me gaver de pizza à l'ananas ou tremper mes frites dans du chocolat, devant des films d’horreur.

Enfin nous divorçâmes et je plongeai tout à fait dans un monde fait de chanvre, de cuir, et de soupirs. Et tout aussi simplement, je me retrouvai à Eternally, deux bons mètres de corde autour des hanches et vêtu dans le plus simple appareil. En hiver.

Je me demande si ma petite Arisu pense que son père est encore parti vadrouiller dans des coins dangereux pour lui revenir et pour qu'elle le soigne à coup de pansements colorés. Qu'il est parti un peu plus loin que d'habitude. Qu'il ferait bien se bouger les fesses avant qu'elle ne devienne bonne à marier.

Mon prénom me parait plus que jamais être de mauvais augure : aurai-je un pêché à expier ?

Déjà deux jours…
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Thomas Straud

CV
Rang: Lieutenant
Surnom :
Palier: 7





Thomas Straud
Jeu 10 Jan - 6:38
Rebienvenue petit lapin :3

t moch toa mé tu le c deja Suspect
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Eternally





Eternally
Fondateur
Jeu 10 Jan - 12:05

Validé

Time to shine!

Félicitations, tu es validé !

gé pa lu !!

Non plus sérieusement, la fiche est top, mais j'ai la flemme de faire un résumé de cette dernière. Du coup je te propose la recette pour faire des truffes aux chocolat ! Quoi ? Tu veux pas... bon ben je vais meubler autrement ! Ton petit soumis est super intéressant et j'aime le côté réaliste, ça se voit que tu as fais des recherches et tout ça. Il va remettre dans le droit chemin  nos petites âmes de pervers qui nous imaginons des choses ! Amuse toi bien avec et fais tout péter !


Bonus de points de réputation : + 10 points


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